Velvet, un gepetto de l'écriture cramée, un aristo-punk échappé de nulle part qui aurait jeté aux toilettes toutes ses icônes jusqu'à lui-même, chimiste au bord du précipice, un peu testeur et gros branleur, un apprenti-sorcier au coin du ciel en train d'enculer spiderman, tout en se lovant dans les ailes d'un papillon lunaire, un peu égaré mais jamais séparé de son œil bien équarri, prêt à affronter ses prochaines mues, prêt à gicler sur la raie du monde poli, et c'est le printemps qu'une violence bien distillée arrive à faire jaillir. En beauté.
Voilà donc un récit qui ne va peut-être rien vous révéler du personnage, du moins pas assez (Si vous connaissez "VDM" d'ailleurs, il pourrait y avoir aussi "CDM",-caractère de merde-, avec la poésie en plus, bien tendue). La seule chose étant qu'en le lisant, même s'il y a quelques longueurs, la chute y est joliment surprenante et pour le moins contrastée. bref, je vous laisse lire "Sans papier".
Publié par les diablotintines - Une Fille - Mika - Zal - uusulu