Vous ne regarderez plus votre banquier comme avant !
Au nom
de l'hippopotame, vous lui tirez une quatrième balle pour lui faire exploser la tête!
Lire le compte rendu d'un procès étonnant où le meurtre d'un banquier entravé dans du latex n'est ni un crime d'amour, ni
un crime d'argent ? Cécile B. s'est excusée, elle s'est tue et sort dans un peu plus d'un an (avec son million ?). Elle l'a tué parcequ'il était cruel avec les animaux...
Le chat s'appelle Physbée. Le banquier n'aimait
pas trop les chats et l'animal avait la fâcheuse habitude de monter sur le lit. Il l'a balancé contre le mur. L'animal a perdu une dent.
Le banquier avait invité Cécile B. à un safari. Selon elle, il laissait agoniser les animaux, ce qui la rendait malade. Elle se souvient
notamment d'un hippopotame qui a mis quelques secondes à mourir. Et c'est, dit-elle, l'image de cette victime agonisante qui lui est revenue en tête lorsqu'elle a tué le banquier dans sa
combinaison en latex. Elle ne voulait pas le laisser souffrir; c'est pourquoi elle l'a achevé d'une balle dans la tempe.
Tout le monde est content annonce la tribueuargh, (putain, ça passe pas!) : La Cour ordonne la
confiscation et la destruction de l’arme du crime, de la combinaison en latex et des divers accessoires assortis ainsi que des photos appartenant à l’accusée. La présidente du Tribunal n’a pas
souhaité non plus s’attarder sur la description des moments d’intimité de leurs amis de «la haute société». Il y a des secrets qui n’ont pas été éventés au cours de ce procès.
Edouard Stern était un homme remarquable,
insiste l’avocat.
Via la Tribu... euaargh, snif, de Genève