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Le curé d'Ars (1786-1859), Notre-Dame et la miséricorde divine

Publié le 22 juin 2009 par Hermas
Le curé d'Ars (1786-1859), Notre-Dame et la miséricorde divine Quelques extraits des pensées et des prières du saint Curé d'Ars envers la Sainte Vierge, Mère de miséricorde pour les pécheurs :
- Marie, ne me quittez pas un instant, soyez toujours à mes côtés. Chassez le démon qui tient asservi sous son empire cette personne, qui la tente, ou qui s'efforce de l'empêcher de faire une bonne confession.
"Si le pécheur invoque cette bonne Mère, elle le fait en quelque sorte entrer par la fenêtre..."
- Je remercie Dieu d'avoir pris un si bon cœur pour les pécheurs et d'en avoir donné un si bon à sa Mère. Adressons-nous à elle avec une grande confiance, et nous sommes sûrs que, quelque misérables que nous soyons, elle nous obtiendra la grâce de notre conversion.
- La Très Sainte Vierge se tient entre son Fils et nous. Plus nous sommes pécheurs, et plus elle a de tendresse et de compassion pour nous. L'enfant qui a coûté le plus de larmes à sa mère est le plus cher à son cœur. Une mère ne court-elle pas toujours au plus faible et au plus exposé ?
- Marie est si bonne qu'elle ne cesse de jeter un regard de compassion sur le pécheur. Elle attend toujours qu'il l'invoque. Si le pécheur invoque cette bonne Mère, elle le fait en quelque sorte entrer par la fenêtre.
- Dans le cœur de la Très Sainte Vierge, il n'y a que la miséricorde !
"La meilleure prière que l'on puisse faire..."
- Une bonne prière, c'est de prier la Sainte Vierge d'offrir au Père éternel son Divin Fils tout sanglant, tout déchiré, pour demander la conversion des pécheurs. C'est la meilleure prière que l'on puisse faire, parce qu'enfin, toutes les prières se font au nom et par les mérites de Jésus-Christ... Mes enfants, écoutez bien ça : toutes les fois que j'ai obtenu une grâce, je l'ai obtenue de cette manière : cela n'a jamais manqué.

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