Sur le blog de la Cinémathèque Française [lien], Serge Toubiana annonce la bonne nouvelle :
"Le Tribunal de Grande Instance a déclaré ce matin la nullité du contrat qui liait Pierre Etaix à la société Gavroche Productions, ainsi que l'irrecevabillité de la partie adverse contre la Fondation Groupama Gan pour le Cinéma, à laquelle il était reproché d'avoir procédé à la restauration de Yoyo en 2007. Gavroche Productions demandait 1,4 million d'euros de dommages et intérêts à la Fondation Groupama Gan, considérant que cette restauration constituait un préjudice à l'exploitation du film. Cela laisse rêveur !"