Début de journée d'un papa à la maison avec son fils adoré qu'il n'y en a pas d'autre d'aussi beau que lui

Enfin si, il y en a 3 autres plus une fille qu'elle est aussi la plus belle.
Le lundi et le mardi, Théo n'a souvent pas de place en crêche, comme Martine travaille (elle est bien, ma femme) et que mon patron (c'est moi même présentement) me laisse libre de mon emploi du temps, je m'occupe de mon Théo.
Réveil de Théo à 6h00 pour bien être sur de voir sa mère avant qu'elle parte au travail ; je dis 6h00 mais c'est une moyenne ; il peut très bien sauter du lit à 5h20 comme à 6h30. Dans tous les cas, il commence par pleurer, demander son doudou et me montre la porte des toilettes qui est toujours ouverte la nuit alors qu'on lui apprend à la fermer (la porte). Je me lève traine donc jusqu'aux toilettes pour fermer cette p****n de m***e de porte. Ensuite il file chercher sa mère qu'elle soit sous la douche, en train de déjeuner ou de lire ses mails. J'en profite pour ramper jusqu'à la cafetière pour me faire un café noir que je bois entre mon ordinateur, les choco que j'ai intérêt à partager avec Théo et les livres qu'il me demande de lire.

 

A propos des choco, je remercie cet inventeur génial qui les a créés ; ils sont bons soit ; ils sont équilibrés ok, mais ils sont salissants ou alors c'est Théo qui ne sait pas s'en servir. Mais comme il n'y a pas de mode d'emploi, je pense que l'utilisation est intuitive. Elle l'est mais il faut changer le gosse après quand ce n'est pas la douche obligatoire.
A ce moment, j'émerge puisque le café est ingéré et commence à faire son effet.
Changement de couche ; facile la vieille pèse 5 kg, traîne entre les genoux du petit et s'enlève d'un coup avec l'aide de Théo qui court un peu partout et la neuve qui ne veut pas se déplier correctement tellement elle était tassée dans le paquet ; où est Théo ? il se cache pour ne pas se faire empaqueter ses petites fesses. Je le retrouve, le plaque au sol et le retourne sur le dos pour lui mettre sa couche en lui lavant les fesses que je n'avais pas pu approcher avant. Lui il rigole, donc il n'est pas traumatisé ; ça va.

Nous reprenons notre lecture d'un petit livre animé, non plutôt des 3 ou 4 livres qu'il a décidé de lire en même temps en passant de l'un à l'autre suivant l'inspiration.

Maman est prête, elle nous dit au revoir, Théo se lève et l'accompagne jusqu'à la porte puis sur le pallier à l'ascenceur pour lui faire des gros bisous sur la bouche. Les portes se ferment nous rentrons dans l'appartement et Théo me tend ses chaussures pour sortir à son tour.

Cela fait une heure et demi qu'il est debout , je vais prendre un second café. 
   A suivre . . .