Après tout que des voyeurs et des curieux se promènent sur mes pages m'importe peu. Que vont-ils découvrir ? Que je suis gourmande et que j'ai une faiblesse pour le chocolat, que je prends mon café du petit matin chez Starbucks, que j'aime les Alfa Roméo, que je vais au cinoche le vendredi soir à Disney Village.... Oui, et alors ? Mais connaissent-ils l'essentiel ? Non, absolument pas. Je raconte ce qui me plait, ce qui m'amuse, ce qui m'agace. En fin de comptes, je les mène où je veux.J'ai, mardi soir, découvert que ce type qui me poursuit depuis 32 ans était encore en train de rôder sur mon site et j'ai mis mon blog en catalepsie le temps d'y réfléchir. Comment m'avait-il retrouvée ? Via Google et mon badge Facebook... Tout simplement. Tant pis, j'assume mais j'ai aussi le droit de lui dire le mot de Cambronne, là sur un billet. Na! Tralalalalère.... Comme j'espère qu'il aura lu mon billet sur les Hommes des années 80 car cela le concerne... N'est-ce pas ?Mais voilà, j'ai découvert encore mieux tout à l'heure. J'ai vérifié quelque chose en tapant mon nom dans le moteur de recherche et j'ai découvert que la Fnac.com sur 123 People illustre mes récentes recherches de bouquins sur son site.... Ainsi les curieux vont savoir que je suis en train de lire la Forteresse Digitale de Dan Brown. C'est chouette, ils vont avoir de l'avance sur mes posts. A présent, pour animer mon blog, j'attendrai la dernière minute pour faire une recherche car une chose est certaine, je n'achète jamais mes bouquins par correspondance et Google Eyes n'a pas de caméra dirigée sur moi au dessus du Boulevard Saint Michel ou ailleurs... Ou alors...
Je viens donc de remettre mon badge. Je m'affiche et cela me ramène à un truc que mon ancien directeur technique m'avait donné. Le coup du boomerang. Donner une info en forme d'intox, un truc énorme et attendre.... Oui, attendre que la dite info vous revienne en pleine face pour savoir qui parle de vous et en quel sens... J'ai déjà tenté et ça marche, croyez moi. Alors, attention à ce que je peux écrire. C'est peut être du roman, de la fiction, du grand n'impote quoi. Ma vraie vie est ailleurs bien tapie à l'ombre de mon coeur et celle ci je ne vous en parle pas.
Tiens, ce que je vais faire cet après midi, ils ne savent pas et ne sauront pas!