Il vivait, travaillait, payait ces factures et buvait ces multiples tasses de cafés. Il n’avait d’âge, avançait dans la vie, s’essoufflait parfois, se rendait compte de son taux de cholestérol et prenait acte de l’aigreur en hausse de ces proches. C’est lié à l’âge, enfin parait-il que plus on vieillissait, plus ils devenaient encombrants, eux les « proches », désagréables même, inutiles aussi. Il aimait, continuait, contre vent et marais, n’a jamais arrêté d’ailleurs, depuis son premier et instinctif amour avec le sein nourricier de sa mère, sa première maitresse d’école, la petite de la voisine, ces cousines aussi et bien d’autres après… (À suivre, je pense).