Certains d'entre vous se demandent si une fois passé le cap du premier mois, ce blog sautera la haie épineuse du mois de juillet. A défaut, de le promettre, je le souhaite car ce site ouvert à la fin mai me sert d'itinéraire pour la destination à atteindre... 1er septembre si tout va bien.
Je formule des projets et j'esquisse des formules. Rien n'est encore définitif, rien n'est encore conclu. J'avance, pas à pas, jour après jour en me disant on verra bien de quoi sera fait demain.
La seule chose dont je sois certaine, c'est que je n'ai plus d'états d'âme. Exit de mon entourage et de ma vie les relations toxiques et encombrantes, et certains pourraient se laisser surprendre par mon nouvel état d'esprit.
Je me discipline, je m'ordonne, je ne me fais pas de cadeau et c'est ainsi que je progresse. J'ai fait un grand pas puisque j'assume mes propos et mon image. Peu importe qui vient ici me lire. Je vois au rythme de vos commentaires, ce qui vous plait et je vais tenter d'ajuster le tir. Un peu d'ironie mordante ne vous a pas déplue dans mon billet "Hommes des années 80". En un peu plus de un an de blogging, je pense avoir tout essayé et la conclusion de ce dernier billet du mois de juin à moins qu'une actualité trop brûlante me force à reprendre la plume, la leçon tirée de tous ces blogs effacés, tous ces personnages endossés pour me grimer, ce qui m'a été le plus profitable c'est rester moi même et sans états d'âme.