Seda 2003
Publié le 03 juillet 2009 par Ilogmi
La séda 2003 beignait dans le noir, brillante et lasse dans le faon séant de la milice, tu me regardes au dirait de la tempéra, comme un bad sunday, une semi-automatique dans le dos qui chante l'hiver par grandes glandes du lendemain. Assez, tu cours dans l'abassade. Entre les canapés et les varices oblongues des tableaux numérotés. Tu portes l'amulette de la lune, tu jettes des serpent et des septres et nous sommes, we are like horses, we are smiling nowhere nowhere (Checke le chore Monique, j'ai mal aux yeux depuis un quart d'heure). La sédan était toujours là, son découpé, tout qui sonnait comme une mirtille de feu et d'ânes floués dans le verment lâche et acète de quelques corps fatigués, valkyries d'une mangue-monde biolactique, s'esseulant fichtrement les essailles sur un bon quart d'heure partout ou l'on pouvait. La rougoie de la séda me cognait à la tête et encore je serai loin pour tes mains qui sont trop loins à tenir les vagines, palais de glaces, moissons, mangues et ventres de calendriers.