L’auteure « de nos stylos », elle, achève de corriger la quatrième version de son roman. Toujours au stylo, corrections sur papier. Ça se lit mieux, je vois les erreurs, surtout les changements de points de vue. Ensuite seulement, transfert sur ordinateur et travail avec le logiciel Antidote et ses précieuses cooccurrences (zut, depuis que Word a été automatiquement mis à jour, Antidote n’est plus automatiquement intégré, je dois l’ouvrir en deuxième fenêtre, mais bon, on va pas s’attarder à ce détail). Espérance de confiance de trouver les mots, de garder le ton surtout, de porter haut et loin cette histoire qui n’en finit plus d’être remaniée. Pas tant l’histoire finalement que les scènes.
Les lectrices « de nos pinceaux et de nos stylos » lisent respectivement le tome II de La poussière du temps de Michel David et Un monde sans fin de Ken Follett, dont on dit