Au début dumois de janvier j’ai évoqué les friches industrielles dans un billet que l’on peut retrouver en cliquant sur le lien ci-dessous
http://masmoulin.blog.lemonde.fr/2009/01/06
A ce propos j’avais évoqué le nom du peintre Alessandro Papetti. J’avais dit que je ferais un billet sur lui et puis je l’avais perdu de vu. Un récent commentaire du billet m’a rafraîchi la mémoire.Voici donc mon billet sur cet artiste italien, qui s’est fait connaître en France, avec les toiles qu’il a réalisées, du site abandonné des usines Renault, sur l’île Seguin.
Dans le droit fil de ce billet, je parlerai, la semaine prochaine, de l’oeuvre de Nieves Salzmann, jeune artiste peintre, qui nous montre des ponts, des autoroutes et autres infrastructures avec beaucoup de talent. Elle est la fille de Gottfried Salzmann, aquarelliste de renommée internationale.
Ces domaines particuliers, pas particulièrement poétiques, peuvent-ils être traduits en aquarelle. Pourquoi pas, à mon avis, tout sujet mérite que l’on s’y intéresse. Les paysages industriels et urbains font partie de notre paysage jounnalier. Or l’artiste ne doit-il pas être témoin de son temps !
Un ami bloggeur et aquarelliste, Juan Carlos Cardesin, basque espagnol, lorsqu’il ne réalise pas ses portraits expressifs, s’y essaie. Voici les 2 blogs où l’on peut voir ses œuvres :
http://acuarelascardesin.blogspot.com/
http://mimoleskinenegro.blogspot.com/
Voici la plus récente aquarelle qu’il a mise en ligne sur son blog , qui a pour titre “ciudades escondidas” que l’on peut traduire par “ville cachée”
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