Le cauchemar des ménagères de moins de 50 ans

Publié le 08 juillet 2009 par Frédérique Paresseuse

Avec l'arrivée du printemps, je me disais que ça s'arrangerait. Tu parles... A peine le tas a-t-il diminué. Elles sont là. Tapies au fond de la corbeille à linge propre à me narguer. Des noires, des bleues, des marrons, des roses... Des grandes, des moyennes, des petites... Des grosses, des fines...

Et moi, avec mon coeur d'artichaut, je ne me décide pas à m'en débarrasser des fois que je retrouverai leur alter ego planqué derrière un radiateur, au fond d'un lit ou dans le sac d'aspirateur. Je leur donne jusque fin Juillet pour réapparaître.

Après, il sera trop tard.

Je balancerai tout A LA POUBEEEEEEEELLLLE !!!!!!!! Gnarf, gnarf.