Raïeaïeaïyououie.
Ce soir j’ai remis le nez dans la boîte de Pandore !
J’ai réouvert les dossiers photos du Japon. . . alors comment résister.
Je suis désemparé il y en a trop de pas trier.
Donc au menu ce soir, pour éveiller vos yeux et papilles, ou à l’inverse vous retourner l’estomac si vous avez déjà mangé, quelques photos culinaires !
Le second ramen que j’ai mangé au Japon, dans un petit buibui de Nakano où on n’arrivait même pas à déchiffrer le menu. On était 3 et avons pris 3 ramens au pif, pas trop mal :
Très vite, dans ce même quartier fétiche, on a essayé un restaurant à sushis. Rahlàlà, expérience inoubliable; j’y ai mangé à la fois les sushis les plus délicieux et les moins chers de toute ma vie !
1000 yens la barquette standard, soit 8 euros, avec malgré tout une grande variété de poissons. La bière à côté coûtait presque autant (700 yens)!
On est retourné quatre fois là-bas sans regrets :
Un autre soir, sur les conseils avisés de Carlos, on a cherché et surtout trouvé un restaurant spécialisé dans les yakitoris (brochettes). Le menu était indéchiffrable ici aussi :
On a finalement commandé plein de brochettes, et surtout une sorte de plat commun complémentaire bien costaud :
Un autre jour, après une longue déambulation dans les quartiers de Shibuya et Shinjuku, on a choisi au hasard un restau au cinquième étage d’un immeuble. Outre un succulent poisson, il y a surtout une boisson qui a retenue mon attention, un mélange d’eau fraîche et de café, saupoudrés d’un nuage de lait ; jolie texture :
Plus tard, on a goutté avec ntamak une sorte de glace à boire très fraîche et passionnée (parfum fruit de la passion); pas dégueu surtout après avoir longuement marché. Ca ravigotte :
Après les “best-sushis-of-the-World”, le “best-ramen-of-the-World” (quoiqu’à ce niveau, ce n’est plus un simple ramen!) ; on le dévorait dans notre restaurant fétiche non loin du studio ; où on est retourné très logiquement plus d’une paire de fois :
On a aussi eu la chance de joindre le tout premier Cfsl Monthly Tokyo, autour d’une grande tablée d’un isakaya de Shibuya. J’ai plein d’autres photos mais je n’affiche que celle-ci ici, une tablée carnage avec les gros pichets à “bilou” (bière) illimités deux heures durant (après il fallait dégager c’est la règle) :
Un ramen super banal de plus au palmarès.
A la longue je n’en pouvais vraiment plus des ramens. . . et pis des bentos et pis des sobas aussi >:’-
Rien de tel qu’une limonade bien fraiche citronée après un bon bain bouillonant dans un onsen de Nikko. Ca donne le sourire (d’ailleurs ça se voit sur le visage de Carlos!) :
Encore un ramen (à ce stade ça devient du fétichisme!), dans un restaurant au bord d’un lac dans les montagnes loin de Nikko. Qu’il est beau avec son rasengan rose :
Petit ovni de la série, un thé chaud quasi-insipide en bouteille, tout droit sorti d’un distributeur de Nikko alors qu’il pleuvait :
Premiers pas dans un sushibar, les restaurants avec des tapis roulants qui acheminent en continu des fluxs de sushis et autres makis. On trouve pour chaque tablée un robinet qui distribue de l’eau bouillante, à laquelle il suffit d’ajouter ensuite une petite dose d’un thé vert plutôt fort :
Le procédé est ensuite très simple: on paie en fonction du nombre et du type d’assiettes empilées par personne. Certaines assiettes sont plus chères que d’autres. Un concept impossible à exporter chez nous car il serait détourné trop facilement (assiettes scotchées sous la table, dans le dos, planquées dans les poches, sous les fesses ou dans les sacs, etc) :
Vers la fin du séjour, Will et Sonia nous ont présenté leur buibui intimiste fétiche.
J’y ai goutté un alcool à la prune dont je ne me rappelle plus le nom, très sucré et très bon :
Une des dernières soirée improvisée, dans un bar à ambiance d’Harajuku.
Il faut savoir aussi que dans certains bars et lieux, on est sujet à une taxe dès l’instant où l’on s’installe, parfois il n’y en a pas mais d’autres fois la note additive monte à 200 voire 500 yens par personne (4 euros tout de même). Ce soir là l’alcool était cher. . . très cher. Certains sont repartis avec une note dépassant les 5000 yens (45 euros disons). Le verre à alcool de l’Enfer :
Dernier isakaya du séjour, à Kagurazaka (près de l’hôtel). On le fréquentait régulièrement.
J’ai la vive impression que quand l’on ne sait pas servir une bière, c’est pour la vie. Je suis pas doué malgré mon long séjour passé dans le Nord :
Mais mine de rien, je suis super content d’avoir retrouvé la cuisine de chez nous ; il y a trop de trucs qui me manquaient (fromage, pain, chocolat, steak, ptit dej’, fruits, etc.).
Et pour pas trop altérer votre moral, un petit extrà-la-con en suite d’article.
Les photos de bouffe c’est trop rigolo (j’ai que ça à faire muhuhu), même si ça doit être relou d’en faire son métier. Quelques plats d’ici pour agrémenter la chaleur de l’été.