à lever

Publié le 10 juillet 2009 par Didier T.
Affublé d'un nom bizarre, éponyme sans couleur d'un film aux lueurs bleues, sur lequel sont venus se greffer de façon très aléatoire deux symboles musicaux, bien à l'opposé du bémol, ce qui caractérise finalement la superfétatoire façon qu'il a de rentrer dans le lard sans jamais écrire comme un cochon.
Donc, le velours n'est ni sur la langue, ni sur ses gants. Il s'en servirait plutôt pour essuyer certaines humeurs, onanistes ou féminines.
Le tissu est rêche en fait. On s'y accroche les yeux en lisant les mots qui y sont collés. On n'en finit pas de se gratter quand on a eu le malheur de s'y frotter.
Mais voilà, le problème du tissu, c'est qu'il résiste mal au lavage. Le voilà rétréci depuis quelques jours, décoloré et transparent par endroits.
Une course en sac en jute entre Zal et lui qui n'aurait pas tourné à l'avantage de l'empêcheur de tourner en rond ? (sachant qu'une course en sac a généralement lieu en ligne droite d'ailleurs). N'oublions pas qu'ici, dans ce troquet, les plus virulentes attaques ne sont toutes parties égales par ailleurs que des jeux, et il serait dommage que quelqu'un en fût marri.
En parlant de mari, je ne pourrais terminer cette brève sans paraphraser Lustucru : Reviens Velvet, y'a pas les mêmes à la maison.
A toute.
Publié par les diablotintines - Une Fille - Mika - Zal - uusulu