Au cinéma, le ressort qui disloque la jet set
Danse sur le djembé des néo débranchés
Sur le stupre qui suinte de leurs pores animés
Par l’outrage exalté des couleurs de la fête
A l’amer de ce rail, les pas sages d’la jet set
Appareillent leur nature savamment dénudée
D’oraisons qu’ils bafouent en s’en foutant dans l’nez
Drôle de charivari dès qu’ils voient la comète
Sur la peau qu’ils tatouent à défaut de se battre
Les bonzes à leurs pieds bronzés écartent
Les importuns rêvant d’ la vie d’ château
L’héroïne qu’ils reniflent les fait Sardanapale
Incendie du palais, montée sur blancs chevaux
En sniffant aussi sûr que la Gold s’emballe.
Et que fais-tu ici, toi, empereur outragé
Roules-tu des pelles à quelques demoiselles
Ou bien accoudé au comptoir de quelconques donzelles
De ta dame éperdue, tu as tout oublié
En buvant jéroboam as-tu seulement songé
Aux nuits blanches crayonnées de pensées incertaines
Où se meuvent allongées tes muses sur la scène
Du théâtre où l’orage a grondé
S’il a tout balayé d’un éclair en un soir
En déteignant sur l’aube jusqu’à mes idées noires
Alors je régnerai encore une autre nuit
Et je regarderai tes transes sous ton strass
Je boirai immobile un peu de ton whisky
Pour trouver le courage de proposer l’impasse…