Week end dans le pays niçois - premier jour

Attendu depuis longtemps, quasiment un an, le jour J est arrivé finalement très vite et nous nous sommes retrouvés sur la route de Nice ce vendredi après-midi sans que ni la laryngite de Théo, ni les embouteillages, ni aucun oubli malheureux (biberons, doudou, réserve de couche et autre carte bleue) ne nous barrent le chemin.

Au bout de 2 heures, nous nous perdons un peu sur les petites routes de l'arrière pays niçois ; merci Monsieur GPS, confondre le sentier du Collet et le chemin du Collet, faut pas être ben fort ! Remboursez ! Heureusement il nous reste Monsieur téléphone portable pour nous dépatouiller de là et hop on y est.
Une vieille bâtisse en pierre restaurée de façon simple mais chaleureuse. Une grande chambre spacieuse avec tout le confort moderne, pas vrai Théo ?

Une belle restanque semée de gazon anglais et d'accessoires de jardins bien utiles. Une piscine avec alarme mais un peu verte ; nous n'avons pas tenté l'expérience.

Nous faisons dîner le loupiot et hop, nous descendons sur Nice. Après maints appels téléphoniques pour nous situer les uns les autres, nous nous retrouvons en bord de mer et nous faisons connaissance. Faire connaissance avec les Papadoums, c'est facile ; vous lisez leurs aventures sur leur blog et quand vous les rencontrez vous continuez la conversation comme si vous ne vous étiez pas vus depuis les dernières vacances. Pas plus compliqué ! La Fée est adorable, le Pirate pétille de malice et la Demoiselle, une petite pomme : toute ronde et à croquer !

Le plus dur, c'est de se faire à leurs vrais prénoms d'humains et d'oublier leurs jolis surnoms. La Fée et le Pirate s'occupent de Théo qui a une pèche d'enfer et galope partout tandis que les adultes parlent de choses sérieuses, mdr lol comme on dit.

Bref la soirée passe très vite dans une petite pizzeria du cours Saleya.
Ensuite nous allons écumer la plage où les enfants prennent un bain de minuit moins le quart et déjà nous nous séparons avec la promesse de nous revoir dès que possible.

Nous remontons dans notre voiture où Théo tombe dans un coma d'où il n'émergera que le lendemain matin sur les coups de 9h00.