J’ai écouté le bruit des arbres et le silence des rues.
Au loin un autre – quel autre ? - criait.
Le ciel était si mouvant, c’était une nouvelle terre qui se dessinait à l’horizon, pour le seul plaisir de l’inatteignable.
Et nous aurions voulu en être, de ceux-là qui nettoyaient le ciel.
Confidence chuchotée, mirage, j’ai entendu dans le bruit des arbres le chant de notre monde.
Il était inhabité.
Ton nom m’a manqué.
LES COMMENTAIRES (1)
posté le 23 juillet à 20:39
Un très beau texte. Et d'autres que j'ai découvert sur votre site