Liberté et boitillements
A l’aise sans laisse
Pour la première fois depuis trois semaines, espérant que Jocaste aurait enfin compris qu’elle doit rester sur le goudron au lieu de s’enfiler dans la petite forêt pentue à peine mon dos tourné, j’ai promené ma chienne détachée. Du coup elle a consenti à marcher plus longtemps. A aucun moment elle n’a planté les coussinets la coquine. C’est finalement moi qui ai décidé de rentrer car, depuis qu’elle a frôlé la mort, elle boîte vilainement d’une patte arrière. Malgré son problème d’arthrite, elle a semblé apprécier une promenade sans attache. Pour me récompenser, elle est sagement restée sur le chemin. Merci Jocaste.