Au bout de 5 minutes arrive une barboteuse un combi-short vert pour rencontrer une poussette rouge ; c'était notre code de ralliement.
Jeune femme pétillante, Delphine nous conduit dans un jardin public. Accès possibles par des ruelles qui montent (ils sont fous ces niçois) et par ascenceur ; la deuxième solution est plébicitée. Nous papotons de nos vies pendant que Théo peut jouer à l'ombre (après une agression par une petite italienne qui voulait absolument l'embrasser) ; nous découvrons un superbe panorama de Nice :
Après tant d'efforts et d'émotions, Théo grignote dans le parc et nous décidons de redescendre nous restaurer aussi. Il fait très chaud et nous choisissons le côté à l'ombre du port dans un petit restaurant bien sympa.
Ensuite, nous repartons pour nous promener dans un autre parc où Théo voit son premier laping et des chèvres qu'il baptise illico bèèèè, allez savoir pourquoi.
Je vous épargne la photo des chèvres à cause de l'odeur (demandez aux Papadoums, y savent de quoi j'cause !).
Après nous entamons une recherche obsessionnelle d'ombre et nous trouvons les jeux pour enfants en plein soleil ; avez-vous remarqué que les jeux pour les tous petits sont toujours en plein soleil ?
Sérieuse Delphine sur la photo mais super gentille et attentionnée et
tout et tout. En tout cas, Théo apprécie (les parents aussi).
Il faut quand même songer à rentrer chez nous. Je pars devant chercher la voiture garée de l'autre côté du port, je récupère le doudou de Théo perdu près des cages à bèèèè (toujours pas de
photo puante). Je me liquéfie en direction du parking où je m'engouffre dans une voiture chauffée à 42°C mais équipée de la climatisation ; je sais c'est pas le top question environnement mais il
y a des moments où c'est une question de survie. Je récupère mon petit monde sur le port, nous remercions Delphine de sa compagnie en nous promettant
de nous retrouver peut être sous l'eau du côté de la Presqu'île de Giens et fin de ce délicieux week end. Celui-ci a été une belle oasis dans notre vie de parents.