La correction de Merveilleusement givrée avance lentement mais sûrement entre quelques petits problèmes de santé et je découvre une nouvelle façon de travailler grâce au plan. Je ne pensais pas apprécier et pourtant, je trouve que la réécriture coule vraiment mieux avec. Les idées sont déjà esquissées, il ne me reste plus qu’à les élaborer. Je ne me torture plus en me disant : bon je veux aller à un point B mais là, mon personnage m’a amenée à Z alors comment faire ? Maintenant, je suis une ligne directrice ce qui ne m’empêche pas d’être ouverte à toutes nouvelles suggestions de mon inspiration.
J’ai ajouté beaucoup de scènes dans mon tome II parce que ma directrice littéraire voulait que je développe un certain sujet dans la vie d’Isa et j’en ai retiré d’autres que je garde pour mon tome III. La fin sera également changée pour permettre de corriger un problème important pour la survie de mes lectrices.
Je sais, je suis enigmatique mais je préfère garder le suspens et attendre de voir si Carolyn aime les changements que je propose.
Mon roman pour ados est en stand-by pour le moment mais bientôt, je vais aller discuter avec la petite soeur de 13 ans d’un de mes amis pour en apprendre un peu plus sur la vie des ados ! A part Twilight, qu’est-ce que les ados aiment ? Qu’est-ce qu’ils regardent à la télé, qu’est-ce qu’ils écoutent comme musique ? Bon je sais qu’on ne peut pas classer tout le monde dans la même catégorie mais je voudrais avoir une idée globale. Tiens, d’ailleurs, si des filles ou des gars de 13 à 16 ans passent par ici, si vous pouviez me raconter un peu votre vie, ce serait super !
Je dévore aussi des magasines pour ados et alors là, je me marre parce que ça me rappelle tellement de choses. Le monde semblait tellement vouloir s’écrouler pour pas grand-chose. Non non, je sais, avoir un bouton avant une soirée où le mec sur lequel on craque va être là, c’est important, porter la même tenue qu’une de nos amies à cette même soirée aussi et ne parlons pas d’avoir un 0 en maths mais bon disons qu’à presque 30 ans, je relativise maintenant ! Maintenant, la fin du monde, c’est plutôt quand à l’épicerie, ils n’ont pas la sauce à spaghettis que je veux ou lorsqu’il n’a pas la taille au dessus dans des chaussures que j’aime tellement mais qui sont trop petites !
Chacun ses problèmes, hein !