Magazine Journal intime
Les joies de la campagne Bis, ou comment Batman squatte ma salle de bain.
Publié le 25 juillet 2009 par KabotineAvis à la population : ce billet peut heurter la sensibilité des plus jeunes, merci d’en tenir compte.
L’autre soir, après avoir couché les petits, maté deux épisodes de Fringe en VOD, joué à la vie de mes Sims en direct life, un besoin oppressant (le bas de mon ventre) me presse aux WC.
Je n’allume pas, il est tard, mais la Lune éclaire comme en plein jour.
Salle de bain, tâtons… Une ombre me passe en vol rasant au dessus de la tête !
D’un bond, je recule de trois pas, le cœur battant. Un oiseau ? non ? Non, l’Objet Volant Non Identifié a la taille d’une hirondelle, mais pas sa façon de voler. (Un avion ? Non. Une fusée ? Non. Superman ? Non... ) J’allume le couloir. Plus de doutes, il s’agit d’une chauve souris !
Je n’aime pas ca les chauves souris.
C’est une bestiole inoffensive, qui a certainement plus la trouille que moi.... Mais là, elle me stress...
Mais j’ai vraiment envie de faire pipi…
Non, définitivement, je ne peux pas rester comme ca…
Les autres toilettes sont en bas… Bien trop loin…
Je pense à la douche de la salle d’eau… Mais beurk !
Puis une idée !
Dans l’armoire, il y a les serviettes… Je prends un grand drap de bain, me le jette sur la tête, et cachée dessous me glisse jusqu’aux toilettes… il était temps…
Je ne traine pas, et encore plus rapidement, je me sauve, back dans ma chambre !
Penser à dire à Lorelei de bien inspecter la salle de bain demain matin…
Sous la couette, je ne trouve pas le sommeil.
La chauve souris me hante. Elle se métamorphose en Batman (version Georges Clooney tant qu’à faire).
Monsieur Batman, sortez de ma salle de bain, je vous prie ! Mais il ne comprend rien, il vient me rejoindre sous la couette !
Mais qui peu donc résister à Georges ? Certes pas moi ! (sauf quand Brad P est là… ce petit est vraiment tout mimi…mmmmmm) Georges fini par m’embarquer dans de fol envolées sexuelles. (oui, sexuelles comme des bretzels !) puis dans sa bat mobile nos chevauchées deviennent lyriques…Evidement, le lendemain matin, je suis épuisée. J’en parle à Lorelei, qui me regarde incrédule… Si si, je vous assure…
(si non, oui, il y a beaucoup de soleil à la campagne…)