L’écriture est une course de fond

Publié le 29 juillet 2009 par Aparily

Si on devait comparer l’écriture à une course de fond, je dirais que je ne suis vraiment pas bien entraînée ! J’alterne les sprints et les relâchements sans fin au lieu de garder la même cadence avec peut-être une courte accélération avant la ligne d’arrivée.
Pendant trois jours, j’ai réécrit à peu près 20 pages de mon tome II chaque jour, je n’en revenais pas, mes doigts courraient tout seul, depuis hier, j’arrive péniblement à avancer de 3 pages. Pas idéal comme approche.

Sans compter que le mois prochain sera égal à farniente, farniente et farniente avec au programme montagne, lac et surtout, surtout, mer méditerranée. Ah que j’ai hâte ! Ça  fait 7 ans que je n’ai pas vu la mer ! C’est ça d’habiter au Québec et de revenir en France que pour Noël !
Bon l’an dernier, j’ai été à Tadoussac et j’avoue que le fleuve St-Laurent avec sa délicieuse odeur d’eau salée et son étendu à perte de vue (impossible de voir l’autre rive) passait pour une belle copie de l’océan mais le sud de la France restera toujours le sud de la France. Le programme n’est pas encore arrêté mais ce sera sûrement Cassis et ses calanques !

Tout ça pour dire que la correction de mon tome II ne risque pas de beaucoup avancer les prochaines semaines.
Il faudrait quand même que je me discipline et que j’arrive à avancer d’environ 5 pages par jour voire plus si je rencontre des passages parfaits à ne pas retoucher. Quoi ? On peut rêver, non ?

Donc discipline.

Hum, comment on fait pour se discipliner ?