L'appartement donne sur l'escalier d'ébène. Ils se préparent pour la nuit prochaine, mais elle s'égare, les cheveux dans les coudes des corbeaux bandés, le feulement des civics rouges et jaunes. Elle est fanée dans les fleurs du tapis. Les portes sont fermées oui et les couteaux se sont égarés dans la nuit longue longuement, sa jupe inca à qui le prouvera se forme et feule dans la nuit qui devient un grand fanal dans l'appartement crispée, les mur coulissants, c'est une vraie manière noire à qui se sauvera et courera, nonchalant dans les boucliers, halement entrée, sortie, pleurs et rires à pleurer, tout bouge dans ses grands bras de margarine.
Ce sont les papesses qui dansent à côté. Les péplums rasent le ciel dehors.