J'aimerais être l'oiseau perché à la cime de l'arbre, tendre mes cils jusqu'à l'ultime, là où l'horizon tombe de l'autre côté de la mer ;
J'aimerais, d'un battement d'ailes, me poser à la crête du rocher, loin de toutes folies, du bruit et des sauvages et, j'attendrais le passage du bateau... que je suivrais jusqu'à l'épuisement, jusqu'au vide bleu.