C'est pas que j'aie rien à dire, mais je me sens paresseuse ces jours-ci.
Je pourrais dire et redire combien cet été est particulièrement chaud et que contrairement à d'autres j'adore ça (ça dure si peu de temps de toutes façons, autant en profiter), mais justement, je préfère aller m'estramasser au soleil que de passer du temps à en parler.
J'avais envie de parler de la bande de nases à vélo qui se permettent de bloquer la ville un vendredi après-midi parce qu'ils se prennent pour les sauveurs de l'environnement, mais finalement j'ai la flemme. Tout ce que je dirai c'est qu'en tant que cycliste je suis contre cette manifestation principalement parce qu'à mon avis elle fait plus de mal que de bien à notre image. Je songe d'ailleurs sérieusement à participer à Critical Manners le 14 août. C'est plus constructif, je trouve.
Je pourrais parler du fait que dans deux mois exactement je serai sans emploi, mais je n'aime pas parler boulot sur ce blog alors je me limiterai à cette déclaration. L'avenir? Pas la moindre idée. Il y a des coupures partout, et dans bien des milieux les bibliothèques sont les premières à en souffrir alors je ne vois pas trop la suite en rose, mais je vais m'efforcer d'avoir confiance en la destinée.
Et puis finalement, si je ne devais pas plutôt aller chercher une recette pour le repas de ce soir, je raconterais en long en large et en travers combien je suis excitée d'aller à Montréal dans quelques jours et tout ce que je projette d'y faire. Du vélo, tiens, pour commencer. Parce qu'à Montréal, ils ont peut-être pas Critical Mass, mais ils ont Bixi!