Le livre ne m’a pas déçue, l’histoire est intéressante, ton humoristique à l’occasion qui donne une originalité au livre et ça ne me dit pas de rajouter sauf que…
J’aurais voulu l’emprunter à la bibliothèque, mais il n’était pas encore arrivé, alors, finalement après n’avoir qu’entendu des éloges, je me suis fait plaisir et je l’ai acheté. Non, je ne le regrette pas. Je regrette rarement un achat de livre. Pourtant, j’aurais préféré ne pas en avoir entendu parler en bien. Je l’aurais plus aimé sans doute. J’ai cette tendance de compassion envers les mal-aimés. Alors que là, c’est le contraire, on en a dit tellement de bien que je lui ai cherché des poux. Mais ne pas en avoir entendu parler, je ne l’aurais pas acheté. Le cercle vicieux.
Les poux trouvés, presque rien : quelques anglicismes irritants à se demander où la traductrice a appris son français. Surtout la Tamise qui est restée une « rivière » !
Une fois que j’ai craché mes petites cruautés, je peux bien me rallier à tout le monde qui a aimé. Parce que différent. Parce que des lettres, genre littéraire que j’ai toujours aimé. Parce que dans un pays que les auteures nous ont faire découvrir, ce qui me donne envie de parler du mien pour le faire exister. Et, je l’ai déjà dit, rien que pour le titre.
J’aimerais bien être plus familière avec l’anglais, je lirais probablement ce site dont le graphisme me plait autant que la couverture de la traduction américaine du livre. Est-ce que ça dit que l’auteure Annie Barrows va nous donner d’autres petits livres-bonbons de cette catégorie ?
Et puis non, avant de faire partie d’un groupe américain, je commencerai au moins par me rendre aux Correspondances d’Eastman l’an prochain.