Mais ici, c’est un carnet littéraire, alors je vais vous parler de mes lectures de plage. J’ai eu de la misère à me brancher autant qu’un cormoran à l’aile cassée essayant de plonger le bec pour se refiler un poisson dans l’estomac. C’est que j’avais avec moi plusieurs livres, peut-être trop. La vue était si belle, l’appareil photo si tentant, il m'aurait fallu des auteures aguerries ou bien en adéquation avec mon humeur poreuse à l’environnement de terre, de mer, de sable, de roche, de lichen. Tout un défi qu’elles ne savaient même qu’elles auraient à relever (j’ai réalisé que je n’avais apporté que des auteurs féminins !).
J’ai commencé par Les années de Annie Ernaux, cette Française encensée par la critique et qui a fait perdre la tête à la blogoboule. J'ai accosté à la page 43, concluant que c’était bon et extrêmement bien écrit même si je n’ai jamais traversé la page jusqu’à elle. Elle nous
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À toutes le
Normalement, c’est au Pigeonographe que je devrais faire défiler ces clichés mais le site est encore en exploration et je ne sais pas combien je peux lui en refiler sans faire éclater la mise en forme préprogrammée. Alors, je ne prends pas de chance, mon webmestre est loin de tout ordinateur présentement.
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Pas facile d'installer des photos ! Elles se glissent partout n'importe comment, sans ordre ni logique. Et qui plus est, certaines belles, blogger prend un malin plaisir à les rendre floues, alors je les ai éliminées. Bah ... ça donne une petite idée quand même. Je vais aussi en installer au Pigeonographe, sans trop m'emporter. Par exemple, ma chronique qui parle de ma jasette avec la marmotte, eh bien, je vais y rajouter cette fameuse photogénique marmotte. Bon, je m'en vais peser sur le piton, voir si blogger me fait l'honneur de toutes les prendre (elles sont lourdes je crois).