Il y a aussi le vide.
Le vide à venir.
Celui laissé par mon amie qui est partie s’installer dans le sud de la France.
Celui laissé par mes parents qui vont rentrer là bas en Patagonie…
Je sais que je vais me retrouver assez seule cet automne.
Et puis il y a encore du chagrin. (mais au fait c’est quoi la différence entre la peine et le chagrin ?)
Celui de voir mes parents après plus de 40 ans de mariage se passer des avoinées incroyables. Pour des histoires de famille, de bagnoles, de fric, d’héritage… Des histoires de riches, de rages, de rancunes. De merde. Comme toujours ... Depuis toujours, les mêmes douleurs.
L’autre soir, je demandais à un « lecteur » ce qu’il pensait de ce blog. « Il manque de pep’s » m’a-t-il répondu. C’est vrai. Il a raison. Mais où est mon étincelle ? Bien enfouie je crois. Sous des tonnes de tristesse…
Allez, secoue toi donc Kabo !Regarde dehors, il fait beau ! Encore une chaude journée en perspective à glander au bord de la piscine… Encore une vaine journée… D’insatisfaite.
Je déteste tellement être comme ca…
Allez disons que c’est dû à ma mauvaise nuit et à la fatigue qui en découle.
(je ferme momentanément les comms… si vous avez vraiment quelque chose à me dire, mon mèl se cache en haut à droite, sous la photo floue…)