Les heures s'égrènent dans cette ville d'Italie.
L'impassibilité de cette tour jure tellement! Vous ne trouvez pas?
Seul le mécanisme de son horloge semble signifier que la vie clame sa pétillante présence.
Un cœur de fer résonne dans un écrin de pierre en signe d’existence.
Autour, il n'y a qu'accélérations, ressacs, cris et frottements sur l'air empli de gaz carboniques. Ceux-ci se
glissent, curieux, dans le moindre interstice de cette bâtisse n'altérant point l'inéluctable tic-tac.
En ce texte, l'exploit mérite d'être mentionné, car le temps d'un clic
d'obturateur, les minutes se sont figées pour cet instant unique d'une photographie numérique.
Je vous fais grâce de la technique mais sachez-le, pour être franc ,en ce moment je me suis vu tel un dieu admirant un tableau accroché dans un décor de carte postale au risque de passer
pour une tête à claque.
Ciao a tutti.
La suite maestro!
Autre sujet poetique
ou plus pragmatique
Une île perdue pour vous retrouver... (tiens c'est marrant ça!)