Pandémies

Publié le 25 août 2009 par Lephauste

A la voile que je te la mettrais ta barquasse ! Me disait l'autre soir un ami avec qui j'avais accepter de boire un peu pour fêter son retour triomphal d'Afghanistan. Il est éleveur de lévriers Barzoï. Ce qui, par les temps qui courent sans tirer la chasse, ne porte pas à conséquence. Du moins en terme d'instauration de jeunes démocraties dans des pays vieux comme le monde. Donc Hamid Karzaï, qui autrefois était l'ami de nous et proche de la culture occidentale, ce qui consiste à pouvoir dire qu'on a lu au moins tous les prière d'insérer de la recherche du temps perdu en édition de poche, se voit à présent talonner par son ex ministre des affaires étrangères, lors d'élections récentes où l'on se fend, nous qui sommes au bon goùt vestimentaire ce que le body bag est au volontaire fraîchement dépourvu de vie sur la ligne de front, de se demander si il est bien seyant que la citoyenne récement démocrate, s'entête à vouloir garder l'isoloir sur la tête après avoir glissé le bulletin dans l'urne. Ces barbares sont barbant !

Pas comme Bénabar dont vous ne me ferez pas dire qu'il est barbant, puisque je le trouve rasoir. Mais pourquoi parler de Bénabar ? Alors que tous les regards se tournent vers la grippe H1N1 et les ravages assurément prodigieux qu'elle va faire si l'on ne se fait pas dare dare vaticciner par la connerie; Et bien c'est à cause du fait que Bénabar lui fait partie de ces virus dont personne ne s'émeut et qui pourtant font des ravages dans les méninges spongiformes de la petite bourgeoisie momifiée. Mais est-ce bien de Bénabar dont je voulais parler ? Non, enfin c'est pas sûr, je dois confondre avec l'autre là, celui qui chante comme une planche à billets d'excuses; Comment s'appelle-t-il déjà ? Bertrand Cantate ? Non pas lui, lui c'est un poète. Pas touche à les poètes ! Alors qui alors ? Je sais plus.

Bon, n'en reste pas moins que les burka girls font suer le burnous et que les banquiers sont pas gentils, et que attention la rentrée risque d'être scolaire, et que la démocratie ça se mérite agricole, et que si on est pas réactifs on pourrait bien rater le meilleurs, et que le meilleurs il faut toujours le garder pour la fin, et la fin c'est là.

Au fait, mon ami, vous savez, celui qui élève des lévriers pour la course en sac et bien moi je lui ai dit : T'es con quand même avec tes idées progressistes. moi c'est à la rame que je l'emmène ma barque. Et quand ça drosse dans les rapides, je lui offre des roses, des roses d'Ispahan dont je me fiche les épines autour du gouvernail. Le cas échéant.

D'tout'façon ça veut rien dire ton texte. Oh bien ça c'est fin ! Et là, vrai, c'est la fin.