Je me suis réveillé un matin, je savais que je t’ai...

Publié le 30 août 2009 par Eleken

Je me suis réveillé un matin, je savais que je t’aimais,
Il n’y avait pour moi plus de lendemain, je savais que c’était vrai,
Et tout de suite, mes appels tu as suivi,
Un jour d’automne, le temps était dit.

Nous traversons une rivière de flammes,
De nos membres, bras, mains et jambes, il ne reste que des cendres,
Mais nos coeurs eux ne cessent pas, comme nos âmes,
D’être liés dans un passé, un avenir sans larme.

— Eleken,
De retour de lyon, bien cassé