La bulle

Quand une matrice capitonnée inspire d’inquiétantes claustrophobies…

Le Bienvenu qui frappe aux portes du petit monde transparent réveille la Lune.

A-t-il prévenu l’Ariane salvatrice pour se jeter à corps perdus dans les gorges d’un mirage　?

L’assaillant s’engouffre dans la brèche or la Bulle est délicate.

Qu’il sache que subrepticement son malheur naîtra insatisfait et que le vice est malicieux : en hurlant à l’amour l’aliénée s’entrouvre.

Percée trop tôt, la Bulle déstabilisée puis reprisée, la Lune n’en sortira plus.

L’aérien s’alourdira et commencera alors l’anti-rêve du Parvenu. Danseur inconscient d’une ronde hypnotique il a conçu dans le microcosme son propre supplice.

Ce deviendra Solitaire et l’Astre blessé se brûlera en réfléchissant.

((… Aux ternes maux les vifs émois, un jour l’évaporée rattrapera l’altitude et se perdra seule mais entière…))