Oyez, qui lisez
Comprenez l’écœurement.
Evitez Février
Et fuyez l’engouement.
Les mièvres délires qui colonisent le monde!
La laide gangrène qui se cache sous les roses!
Le doux traître poison enrobé!
Et la fête qui séduit des drogués clownesques!
Le romantique est mort, que s’instaure la dictature du Solitaire et prière de tuer le calendrier.
Le Vrai est sauvage il surgit sans loi, le Brut est amer il reprendra sa place.
J’accuse les relais des soupirs malvenus et condamne leur créateur magnifique.
L’ange qui passe c’est lui le sale fils d’Aphrodite.
Pour lui le gain consolera la pauvreté. Pour nous le désaccord renversera l’ignoble profiteur et la révolte vaincra.
Choquons, choquons, organisons la rébellion. Le carnaval ridicule s’éteindra faute d’imbéciles acteurs.
N’ayez pas peur, les amants factices ne connaissent pas la frustration, et sous les glaçages renaîtront de jolis phénix.