Le rond dans l'eau tourne, il s'étrangle, il s'évanouit.
Les pas du prisonnier qui tourne en rond, ronronnent. Ils se suivent et se ressemblent, à la queue leu leu, sans sens, sans mouvement, automatiquement rond, sans grandir, sans rétrécir, sans partir.
Ils tournent en rond, un rond que la fumée de cigarette que l'homme fume tente en vain de suivre, tandis que les traces d'eau qu'il laisse sur le sol, ses larmes et sa sueur, n'étranglent que le bonheur qu'il aurait de marcher un jour en carré.