J’aimerais pouvoir m’expliquer plus librement, mais trop de gens me connaissent lisent ce blog, et de là, la censure s’impose. La sacro-sainte censure, car si j’ose dire une chose en particulier, ce qui en découlera sera l’hécatombe pour moi-même ou quelqu’un d’autres. Ou pire, on interprétera mes mots d’une toute autre façon et j’aurai à me justifier ensuite. Liberté d’expression, mon cul oui! Mais bon, c’était à moi de ne pas donner le lien de ce site à des gens qui me lisent avec une curiosité malsaine ou juste dans le but de me prendre en défaut.
Alors, puisque mes tracas ne s’expliquent pas en poésie, je n’arrive pas à extérioriser comme je le voudrais. Aucune inspiration pour tourner mes tourments d’une si jolie façon, que personne n’arrive pleinement à comprendre mes dires, sauf que le but est atteint; je me libère. Non, je n’y arrive pas. Et je fulmine intérieurement d’être prise ainsi, muette, alors qu’il y a plus d’une semaine que j’essaie d’écrire quelque chose qui ne sort pas.
Que dire de plus, lorsqu’on n’arrive pas à trouver les mots?