Apporte, porte, et enfin emporte de moi ce qui plait à ton sourire.
Apporte-moi, porte moi, et enfin emporte en moi ce qui plait à mes désirs.
Tu es l'eau qui mêlée à ma suie fait l'encre d'où naissent ces mots.
Je suis cette flamme courant sur la page nue de ton ventre.
J'apporte, porte, et enfin emporte de toi ce qui plait à mon sourire.
Je t'apporte, je te porte, et enfin emporte en toi ce qui plait à tes désirs.
(A mon aimée)