Il n’est de jour qui passe sans que je me demande si j’ai bien été celui que j’ai toujours cru être ? Il n’et de jour qui se termine sans que je ne pense que la seule réponse à cette question est : « non ! »…Non parce que je n’ai rien de cet homme que j’ai en moi, et qui peine à trouver le chemin vers la sortie… Toi tu es quelqu’un de merveilleux, et pour toi, je saurais me surpasser tant que je vivrais.
Allez une bouteille à la mer…
Je vous connus un jour
Dans la frénésie d’un discours
Et sans pour autant
Avoir assez de temps
Pour, mes sentiments, analyser
Dûment les finaliser
Je me lançai dans un rêve d’éveil
Ou du monde vous fûtes la huitième merveille…
Et si ma muse m’eusse permis, ce jour là
De vous dessiner, au verbe saillant, pourtant sans éclats
J’aurais tressé des rimes, brodé des chutes de quatrains
Faits de ces paroles qui se disent une fois, mais s’endentent, à jamais, en refrain…
J’aurais fait couler des rivières d’encre sur le candide de cette page
A essayer de niveler votre aura, votre image
Mais à la fin, mes plûmes se daigneront ce faire
Non de refus, mais de crainte de ne pouvoir complaire.
Il est dur à un poète de vous niveler mademoiselle
Car vous êtes, simplement belle…
Belle parce que reine dans ce lointain domaine
Belle parce que tonnerre de ce ciel
Belle parce que, blanche sur ce noir d’ébène
Belle parce que pêché originel…
Belle parce que feu sans flammes
En fin, simple femme, dans vos vêtements de femmes