degré IV, LXXIII (67)
Publié le 10 septembre 2009 par Moinillon
Nous ne devons
point nous étonner, si, après avoir confessé nos péchés avec les dispositions
requises, il nous reste encore des combats à soutenir; car nous devons savoir
qu’il nous est plus facile d’avoir à lutter contre la corruption de notre
corps, qui nous humilie, que contre l’enflure du cœur, qui nous élève.
saint Jean
Climaque : L'Échelle sainte
«De la bienheureuse
et toujours louable obéissance»