Mercredi 9 septembre
C’Est-ce matin que j’avais programmé d’aller surfer et de poster les dernières nouvelles de front. Et puis j’ai eu la flemme. Rentré après minuit de la soirée Desperate chez Bob et victime d’un sommeil difficile, je me suis levé pour le service du petit dej à 8h et ai été retrouver mon lit dans la foulée !
Et puis j’ai rien glandé du jour parcque j’avais pas envie. De toutes façons, si je pars pas dans l’action directement au sot du lit, c’est foiré, je fais le légume pendant 24 heures.
Donc, après une deuxième session de dodo -enfin, plus de repos que de vrai sommeil-, la journée s’est remplie par l’épluchage du pariscope et le visionnage d’un DVD.
Dans la série j’achète des films que je ne regarde pas, je me suis procuré le dvd du film d’andrei Tarkovski, « Le Sacrifice ». Depuis plus d’un an et demie que celui-ci traîne dans mes placard, et en vue d’aller voir d’autres films du réalisateurs au cinéma, je me suis enfin décidé à le regarder.
C’est une œuvre d’une beauté visuelle époustouflante. La première partie comporte de brillants dialogues philosophes sur la condition humaine, les acteurs sont formidables…
Mais…
Mais la tête remplie de tas de réflexions sur des sujets divers et variés, je n’ai suivi qu’à moitié et me retrouva fort décontenancé pendant la deuxième partie du film qui m’a totalement échappée.
Un peu un coup pour rien donc.
Petite tête bien encombrée par l’appel passé à mes parents hier et cette conversation avec mon popa, lors de laquelle j’ai d’ailleurs appris que ma nièce avait accueilli avec enthousiasme mon désir d’aller lui rendre visite à l’hopital, ce qui, pour des raisons qui m’échappent toujours, n’a pas plu à ma sœur, d’où le message reçu dimanche (voir posts précédents pour ceux qui ne suivent pas !), suivi d‘un dialogue sur les relations d‘incompréhension mutuelle entretenues par mes parents. C’est la première fois que je me permets de conseiller mon père. Les rôles s’inversent. On dit que l’on devient un homme quand on devient le père de son propre père…