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Celui qui commettait des meurtres

Publié le 10 septembre 2009 par Gerry14

Lundi 7 septembre

J’ai intérieurement traité une centaine de personnes de connards ou de connasses.
J’ai molesté mentalement au moins 25 d’entre eux.
Et tué ma sœur une cinquantaine de fois !
Se mêler à population extérieure quand on est déjà passablement énervé n’est finalement pas une très bonne idée. Et vas-y que je te bouscule, que je te marche sur les pieds, que je te passe devant à la boulangerie et j’en passe. Quantité de gestes quotidiens et d’apparence anodines mais qui, selon le contexte ambiant, peuvent prendre une ampleur démesuré.
Heureusement, dans ce tas de bourbier, de personnes laides et inciviles, on trouve de jolies consolations. Un regard lumineux, une aura, un sourire…
Il y a des visages qui font du bien à voir.

Regardé CLOSER, très bon film sur les rapports amoureux, à l’écriture délicieuse.
Mais, plus je la vois et plus je trouve que Julia Roberts n’est pas belle, qu’on voit les défauts sous le maquillage. Et dès qu’elle sourit, toutes les réserves disparaissent. Cette femme est d’un charme dingue !
Et dingue, c’est moi qui le devient en regardant Jude law et Clive Owen. La sensualité animale et débordante de Clive Owen me fait toujours chavirer !

A l’heure de la ronde de nuit du personnel du foyer, je me suis confié à une infirmière.
J’ai toujours cette sensation que parler ne changera rien aux évènements, ce qui est vrai. Aussi la peur de gêner si je demande de l’attention. Et puis, une fois que c’est fait, c’est une énorme libération. Effectivement, ça ne change rien aux choses mais c’est la perception que j’ai des évènements qui s’élargit.

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