degré IV, LXXV (68)
Publié le 12 septembre 2009 par Moinillon
Si, donc, il
vous arrive de manquer de force et de courage pendant le combat, ne sortez pas
du rang que vous occupez; car c’est dans ces pénibles moments de la vie, que
nous avons le plus besoin d’un médecin éclairé et habile. Hélas ! ne faut-il
pas l’avouer ? Celui qui, quoique protégé et dirigé par la sagesse et
l’expérience d’un supérieur, a néanmoins pu tomber, celui-là aurait fait une
chute mortelle et ne se serait pas relevé, s’il avait été seul et privé de
secours ! saint Jean
Climaque : L'Échelle sainte
«De la bienheureuse
et toujours louable obéissance»