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Je ne vous voyais pas comme ça
Publié le 14 septembre 2009 par Blouloude Stéphane Nolhart aux éditions Pietra Liuzzo
Et si la mort était en fait une personne sensible, avec ses états d’âme, ses joies, ses peines, ses envies, ses hobbies, cela la rendrait-elle plus sympathique pour autant ?
Eh bien, dans ce roman, c’est ce que Stéphane fait avec aisance. Humour et culture se mélangent avec grand bonheur et on finit par la trouver bien sympathique cette mort qui a des soucis comme le commun des mortels.
Un livre jubilatoire à ne pas manquer, qui se déguste comme une boisson estivale, en regardant la mer et en ne pensant à rien d’autre.
4ème de couverture :
La mort déprime, se sent mal aimée. Normal, jamais un merci et pourtant quel travail ! Mais, personne ne nous avait dit qu’elle était sensible, pleine d’humour, érudite, touchante, fatiguée, brillante, mélomane et… cruciverbiste à ses heures ; qu’elle avait des rêves de gloire et voulait juste devenir une star.
Jusque-là, le secret était bien gardé.