Magazine Journal intime

Alors moi je dis stoppe ! (Parce que je le vaux bien)

Publié le 14 septembre 2009 par Jess_kelig

Aux pellicules ? Aux cheveux blancs ? Gras ? A la cellulite ? Aux rides ? Peut-être à tout ça en même temps ? (non quand même pas, faut pas pousser !). Que nenni ce n'est point à tout ça que je dis (et re dis) stop. Je pose mon véto, je haltise, je dénonce la connerie humaine. Voilà. C'est lâché.

Bon. La connerie humaine je ne pourrais certainement pas la stopper toute seule. Et puis, entre nous, si on pouvait le faire, on l'aurait déjà fait depuis longtemps non ? A moins que je sois le petit génie qui ait inventé le remède à ce maux. Mais non. Raté. Le prix Nobel ça sera pour une prochaine fois.

Pour mieux recentrer ma révolte (oui je suis jeune et on sait que jeune = révoltée), je vais plutôt cibler la non réponse. Oui, vous connaissez ce fait très très commun qui est que les gens ne vous répondent pas. Du genre "Je vous tiens au courant dans la semaine." et puis toi, la semaine, elle passe, elle passe et au final : rien. Alors après avoir constaté qu'on t'a pris pour un con one again, tu crie "Ca m'énerveeeeee" (ça y est, vous avez fait vous aussi le lien musical supra culturel ?)

Pas plus tard qu'il y a quelques temps (précis, hein), je passais un petit entretien pour un possible boulot. Le directeur m'informe que j'aurais ma réponse le lundi suivant. Je passe ma fin de semaine ainsi que mon week-end, à stresser comme une dingue. Lundi matin, boule au ventre, je vois mon portable sonner et paf, la réponse n'est qu'en fait l'invitation à un second entretien. Certes. Ok. Je m'exécute et m'y rends. Et là, le directeur number 2, me ressort le même baratin : "Vous aurez la réponse en fin de semaine." Sachant que nous étions mardi, peu de jours à poireauter. Vendredi, 16h30 toujours pas de réponse. Sachant que la boîte ferme le vendredi soir à 17h, je me permets très poliment d'envoyer un message au directeur number 1 pour obtenir la fameuse réponse. Je tiens à préciser qu'on m'a largement fait comprendre au cours des deux entretiens que j'étais faite pour ce poste. C'était tellement sûr qu'avec mon fiancé, on tirait déjà des plans sur la comète. 

Bref. 5 minutes plus tard, je reçois un email froid (et truffé de fautes d'orthographes) qui m'apprend que finalement, ils ont recruté quelqu'un d'autre et que j'aurais confirmation la semaine suivante de leur choix. Ah ... Et qu'effectivement, ils ont zappé de me téléphoner.

Il est vrai que la moindre des politesses aurait été de le faire et pas de me faire tourner en rond pendant 3 semaines pour rien du tout. Nous sommes deux semaines après cet email et je n'ai toujours pas reçu la fameuse confirmation. 

C'est là que j'interviens et que je hurle "STOP !" de toute mes forces. Comment est-ce possible que de nos jours, la politesse se perde autant ? Je ne sais pas pour vous mais si on m'écrit, me téléphone, je réponds. Si je promets de tenir quelqu'un au courant pour tel délai, je le fait. Par correction. Mais non. De plus les gens n'en ont strictement rien à carrer. Ce sont des mots jetés en l'air qui ne signifie plus rien.

La dernière fois, c'est une des agences intérim qui m'avait fait le coup. Quand aux maisons d'éditions, je n'en parle même pas. On pourrait aussi en dire autant de certaines personnes sur internet ... 


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