Mais bien sûr que CSP s'est mal exprimé quand il a lancé ceci : "Moi aussi je suis capable de regarder un enfant droit dans les yeux en lui murmurant des salacités dont je sais que ça va le traumatiser. Moi aussi je suis capable de draguer des bébés en Kindergarten avec des sous-entendus graveleux qui les feront pleurer en les faisant regretter d'être nés. Moi aussi je suis capable d'adopter avec les enfants ce mélange d'obscénité libidineuse et de coups de dards juteux, de doser chantage et intimidation en jouant sur les hontes pour parvenir à mes fins.". En plus, il ne s'est pas excusé. Il faut dire qu'il est "sous pression", lui aussi. Le pauvre petit chômeur. Enfin, sous pression, mais pas au point de se défenestrer, tout de même, vu qu'il habite au rez-de-chaussée et que les fenêtres de son appart' sont grillagées...
Au fait, qui est CSP ?
Son autre blog nous apprend qu'il est un pur produit de ces "Universités" de gauchistes desséchés qui ont infesté tous les corps de la fonction publique, ce qui n'étonnera personne. CSP n'a aucun diplôme, bien qu'il ait (ou plutôt parce qu'il a) passé de longues années à Toulouse-le-Mirail. Ce qui ne prouve rien quant à ses vices d'être humain, évidemment, on peut être perclus de l'inculture la plus crasse et avoir les lacunes les plus béantes, et rester moralement au-dessus du niveau du rat CSP. Mais, dans le cas de CSP, j'ai conscience que ce pauvre animal est bien plus vil.
Puisque même un rat, oui, même lui, ne pourrait pas, n'oserait sans doute pas, tenir les propos de CSP. Qui instrumentalise 23 personnes mortes à France Télécom et surfe sur l'"émotion" de l'opinion publique pour commencer à hurler que moui, décidément, il faudrait peut-être quelques expéditions punitives contre les "patrons", et qu'on n'allait pas prendre de mesures de "dialogue" avec ces gens-là et que réformer le "management" ne ferait rien à l'affaire, et puis c'est vrai que c'est opportun toute cette démagogie ça permet de redresser le cours de l'action "N"PA n'est-ce pas...
D'où est-ce que ça sort, un CSP ? De quelle gueule infernale du pire trou du cul de l'Enfer peut donc sortir ce genre de personne ? Existe t-il, quelque part, un endroit spécifique où on fabrique des CSP tous destinés à être des gauchistes sans âme ? On lit, sur ce blog, qu'il est seul et en coloc avec Butch. Peut-être est-ce un bon coloc et un bon célibataire, payant sa part du loyer ou monnayant cette part contre quelques faveurs sexuelles. On ne peut qu'être interrogé par le processus mental qui permet à un homme d'instrumentaliser des morts en exhibant sans état d'âmes des vies brisées, qui passe littéralement ses journées à agiter des êtres humains en faire-valoir et pourrait donc être responsable, pour ne pas dire coupable, des drames qui pourraient toucher le personnel de direction de France Télécom, et qui rentre chez lui le soir en enculant Butch et en se faisant du souci pour ses échecs de demandes d'emploi...
Sans doute également que toucher un RSA de 1,7 mille euros en 2009 peut aider à vivre sans savoir ce qu'est la vie d'une entreprise, oui, sans doute. Certainement.
Le problème, au fond, ce n'est pas CSP en tant que tel, évidemment. Des CSP, il y en a partout. Ce n'est qu'un exécutant qui se contente d'appliquer ce pour quoi il a été fabriqué par le "N"PA. Le problème, c'est qu'il existe un système, des systèmes, des institutions, sociales, scolaires (l'EdukaSSion naZionale), qui fabriquent, qui façonnent des CSP, des types qui sont payés, grâce à la spoliation fiscale, et font tourner leur cerveau dément comme on ferait tourner du lait caillé, qui recherchent l'endoctrinement exponentiel et ignorent ceux qui finiront broyés.
Puisque c'est cela, le résultat concret des politiques de socialisation. 23 morts d'un côté. 100 millions (oui, cent) de l'autre. Non, ce n'est pas l'"égalité", ni la "justice sociale", ni la mise en avant de l'"intérêt général". Des gens qui crèvent. Des gens qui s'enrichissent de l'appauvrissement des autres au nom de l'"égalité". La voilà, la réalité, le résultat, les conséquences concrètes du collectivisme. Des gens qui crèvent POUR que d'autres s'enrichissent au nom de la "justice sociale". Il est là, tout entier résumé, le "projet" communiste. Et je n'espère évidemment même pas "convaincre" un seul des rats malades qui défendront encore l'économie planifiée en dépit de ce que l'histoire leur a prouvé pendant des décennies, on ne discute pas avec des fanatiques. On les combat et on les écrase, point final.
Sinon, ce sont eux qui nous transformeront tous en ossements de Tuol Seng.