Le groupe suit. Parfois ne suit pas. J'ai connu des groupes qui suivent. Cela indique que direction est donnée. Que règles, pour être respectées, sont posées. Admises.
J'ai connu des groupes où ça partait en quenouille, faute de règles. Et des groupes où les règles étaient remises sur l'ouvrage. Des groupes, aussi, où trop de règles tuaient la règle. Le groupe grouille. Il est vie. Le groupe trouille. Il est mort.
Triste, beau, moche, jeune pousse, vieux singe, il apparaît, disparaît.
Le groupe est marée. Pas toujours marrant. Pas toujours morose.
Le groupe est alibi. Certains s'y cachent. D'autres s'y transforment. Certains s'y transforment par le haut. D'autres par le bas.
Le groupe est troupeau, et c'est ainsi. L'homme est animal social. L'on choisir sa place, y compris décalée. Même quand on semble n'avoir pas le choix.
Le groupe est addition de personnes. La moindre des choses est d'en accepter les revers. Il peut être aussi de ce fait soustraction, multiplication, division.
Le groupe est ponctuation. La moindre des choses est d'en accepter les signes. Il est de suspension, d'exclamation, d'interrogation.
Le groupe existe. Il n'existe pas.