Vampire Knight - Matsuri Hino

Publié le 16 septembre 2009 par Kyuuketsu

     Je lis des livres... mais pas seulement. J'aime les mangas aussi (petit format, plus de pages qu'une BD classique au prix d'un livre de poche, le côté vivant des dessins surtout lorsqu'il y a de l'humour, la beauté de l'image aussi, et aussi l'impatience à chaque fois que la sortie d'un nouveau tome est prévue), et ce soir, je me suis dite qu'il fallait tout de même que je parle de l'un de ceux que j'apprécie le plus: Vampire Knight, de Matsuri Hino.




Synopsis (tel que trouvé sur le site manga-sanctuary.com):

     Dans le collège Cross, étudiants humains et vampires cohabitent secrètement. Yuki, avec l’égnigmatique Zero, doit s’assurer que cette cohabitation reste pacifiste. La jeune fille souhaite un futur dans lequel Hommes et vampires puissent coexister sans se combattre. Une conviction dictée aussi par les sentiments qu’elle éprouve pour le noble Kaname, le chef charismatique des vampires du collège. Un garçon qui, un jour, lui a sauvé la vie...


Mon avis:

     J'ai assez rapidement accroché à cette série, et pour cause, elle parle de vampires (et oui... encore). La première chose qui m'a séduite a été d'ordre esthétique. Les dessins sont, à mon goût, vraiment beaux, et tout en finesse (tant au niveau du trait en termes "techniques" que pour les sentiments qui passent à travers les regards par exemple). On sent qu'ils sont soignés, et détaillés (surtout les uniformes, les lieux...). Mine de rien, ce fait reste essentiel puisque cela permet de mieux se plonger dans l'histoire, et de mieux l'apprécier, j'aurais envie de dire que ça "choie l'imagination". Je me comprends.
     En ce qui concerne l'histoire, je la trouve plutôt bien menée. Chaque personnage a quelque chose en lui qui le rend attachant. On se partage entre Zero et Kaname, forcément... mais difficile de réellement choisir celui que l'on préfère.
     Amour, secrets, vengeance, fantastique et côté noir... tous les ingrédients sont là pour une chouette série, et ce manga est une vraie petite merveille.

Il est bien sûr déjà adapté en animé, et pour le plaisir des oreilles, je vous laisse le clip de la chanson Still Doll, de Kanon Wakeshima, qui a servi de générique de fin.