- Je continuerai à me lever tôt (pas bien difficile, je me lève tôt même les week-ends).
- Je me prépare déjà un emploi du temps hyper strict pour le mois prochain: 3h d'espagnol par semaine, au moins une demi-journée à la bibliothèque municipale -et pas pour y lire des romans, sans compter toutes les heures de recherche d'emploi, d'amélioration de CV, etc.
- Justement, je me construis déjà dans ma tête des stratégies de recherche d'emploi de l'enfer, qui vont m'occuper au moins à plein temps, si c'est pas plus.
- J'ai aussi un petit projet personnel qui va occuper ma p'tite cervelle et me sera profitable professionnellement un jour peut-être.
Avec tout ça, si ça se met pas à bouger vite vite...
Petite séance lecture. Difficile de se concentrer avec le magnifique coucher de soleil l'autre soir...
J'avais envie d'une coupure, pour éviter de me lever le jeudi 1er octobre à la même heure que d'habitude, boire mon café et filer sous la douche, m'habiller pour me rendre compte que je n'ai nulle part où aller. Nous pensions utiliser nos billets d'avion achetés en juin mais jamais utilisés, pour aller au Nouveau Mexique. Santa Fé en octobre, ça doit être beau... Mais la vie, c'est fait pour changer, changer et encore changer. C'est sûrement ça qui fait son charme. Alors, j'ai eu beau claironner à tout le monde, y compris mes patrons pour qu'ils comprennent que je ne suis pas désespérée dans la vie, pas du tout, que nous allions nous envoler pour le sud sitôt mon contrat terminé, eh ben non, probablement pas. Et soyons clair, je ne dis pas ça pour me plaindre des changements de programme dûs au travail de Mr Husband, parce que des fois c'est pour le mieux que ces changements ont lieu.
Et en l'occurrence, même si j'aurais de loin préféré aller au Nouveau Mexique, je pourrai au moins profiter de mes premiers jours de chômage pour voir une belle sélection de films au Festival International du Film de Vancouver.