Une bonne question, et un bon texte de Chantal Beaupré.
À lire ici
Nous sommes aussi malheureux qu’autrefois, même si nous sommes plus avancés au niveau cognitif (la logique), nos émotions sont encore au stade primaire.
Est-ce que l’on gère nos émotions avec maturité? À me voir aller des fois, je ne crois pas. Mais comment faire?
Voici le commentaire (flou) que j’ai laissé sur son texte:
“Très bonne question.. (sourire)
Le cogniftif est développé à fond, et aide à notre survie, mais l’émotif manque de développement et nous ramène à un état fragile donc.
Comment pouvons-nous comprendre nos émotions.. du point de vue du scientifique, ou de la simple personne..? Le scientifique aurait sa méthode, et serait objectif.. mais nous, simples gens, j’imagine donc garder l’esprit ouvert, prendre note sur les différentes émotions vécues et les associer aux évènements présents, passés ou futurs. Je crois qu’une conscience de soi est de mise.
C’est fascinant ces émotions… mais si elles y existent, c’est bien j’imagine qu’elles doivent être utiles, encore une fois probable pour le besoin primaire de notre survie.
Mais de nos jours, la survie est tout autre que de la chasse et de l’agriculture. (clin d’oeil) Ça reste que la loi du plus fort existe toujours, donc sa survie dans les hiérarchies sociétales.
Du point de vue réussite globale (ou perception de sa propre réussite), les émotions ont peut-être plus de place que l’on croit.. De là les “gut feeling”, ou ses instincts.. Mais bon, encore faut-il être conscient de soi.
La réponse est vague, désolé hahah
Bon billet, merci de l’avoir écrit. (sourire)”
Ça reste tout un casse-tête en tout cas.
(via @chantalbeaupre)
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