Julien Doré vs Dorothée (!!!)

Allez, encore un petit rêve incroyablement cohérent, et vraiment bizarre de chez bizarre…

Je suis dans la région d’Arcachon, sur la côte ouest, je suis dans un grand café qui surplombe les dunes et l’océan avec mon petit frère et mes parents. Au travers des grandes baies vitrées, le ciel est menaçant. Nous sommes habillés chaudement. Je ne me souviens plus de la conversation mais ce que nous racontons a l’air sérieux et pas forcément gai, je ne me souviens que des visages graves et d’une blessure de mon frère au front. La conversation se termine et je rejoins ma voiture, toute seule.

Je roule et d’un seul coup, une pluie de grêle impressionnante avec des grêlons gros comme des balles de ping-pong, avec la tronche de balle de tennis jaunes avec la bande beigeasse. Le goudron est couvert de flaques d’eau quand j’aperçois sur ma gauche une station essence désaffectée. Je me gare. Et je vais voir l’ampleur des dégâts, mon capot est tout cabossé (c’est la seule chose que je regarde). En face, il y a une espèce de grand centre commercial. Sans magasins, juste le grand espace classieux avec des fontaines, des plantes. Comme un grand vivarium, avec escalators.

Je rentre là-dedans et il y a pas mal de monde, plutôt habillés genre grunge, un peu barrés. D’un seul coup, passe devant moi Julien Doré. Un look déjanté : gilet en jean élimé sur une jupe écossaise jaune par-dessus un slim !!! Je décide de le suivre, je suis fort intriguée. Je me retrouve dans les chiottes de mec. En fait de chiottes, on ne voit que les urinoirs, sinon c’est le dernier endroit où l’on cause. Les mecs y marchent comme pour un défilé de collection haute couture. Les mecs présents en me voyant paumée ici, minuscule petite chose, se poilent et là, y’a Julien Doré qui tente la drague et d’un seul coup on entend une clé qui se tourne de l’extérieur. On nous enferme dans le gogue. J’ai juste le temps de m’allonger le long des lavabos qui sont au milieu de la pièce et sertis dans du carrelage, avec juste la place pour m’y protéger, quand des coups de mitraillettes et autres coups de feu retentissent. La totale. Le flippe à mort.

Et là, encore des bruits de serrure. Cette fois on nous rouvre, et dans l’entrebaillement, y’a Bailey (la résidente de Grey’s anatomy, la replette qu’il ne faut pas agacer) vêtue en flic en gueulant que c’est hors de question qu’on nous enferme comme ça… Et puis d’un seul coup c’est le silence total.

S’ensuit une course poursuite à travers escalators, plantes, les gens qui avancent à tâtons, en rasant les murs ou en rampant, Julien Doré que je croise par moments, les coups de feux, les planques. L’angoisse palpable. Le silence entre deux coups de feu.

Et puis au détour d’un escalator, je tombe sur Dorothée (ouais celle de récréA2) en tenue de démineur, avec casque, entourée de gros bras qui commence à faire style je vous prends en otage avant de nous dire que tout ça ce n’était qu’une bonne blague.

Ca se termine sur un concert de Dorothée, qui pique les musiciens de Julien Doré et reprend un de ses titres.

Mortel non ?

;o)))

Nan, mais je vous jure, je suis vraiment toute seule dans ma tête, hein !!!