Au petit matin parfumé par la chaleur du soleil
Une serveuse m’impressionne comme le devin artiste
Combien de temps à s’acharner contre le sommeil
Avant de cueillir le laurier rose non loin de la piste
Du vieux port, je la regarde toujours pareille
Belle et souriante jusqu’à oublié que je suis triste
Sans le café sans même m'asseoir je me réveille
Je l’attends et j’entends qu’est ce que tu désires
À tel point que sur la terrasse je ne résiste
À lui dire, si tu savais que c’est ici ma merveille
J’arrêterais enfin de me lever si tôt
©Nassim